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Ce matin, je fis un rêve qui me laissa une sensation troublante au réveil. Les images étaient floues, mais les sensations encore intactes. Je n'avais pas pratiqué les plaisirs du bdsm depuis un long moment, et voila que soudain ce rêve réintroduit ces plaisirs dans mes envies, comme s'il m'était impossible de les enfouir, elles remontent toujours à la surface.
Troublé, excité, tendu par ces sensations réveillées par un simple rêve matinal, j'étais obnubilé par l'envie de me soulager. Me plaçant devant mon écran, je débutais la lecture d'un premier récit: "Tribulations sensuelles". Les mots défilent devant mes yeux, à vitesse rapide, comme si mon inconscient, avide de ces sensations, m'en réclamait toujours plus. Mon sexe mou, emprisonné dans son boxer, ne le resta pas longtemps. Comment pouvait-il en être autrement, tant la description de cette fessée magistrale suivie d'une délicieuse fellation furent réalistes.
Le membre tendu, le gland déjà humide à la fin de ce récit, je ne pus m'empêcher d'imaginer ces lèvres autour de mon sexe, prodiguant avec douceur cette divine succion, imaginant la libération de mon nectar sur ce visage, sur ce corps.
Je me retiens de caresser mon membre dressé, il réclame mon attention, il me brûle. Je ne veux pas jouir avant d'avoir lu un second récit. Je retiens mes caresses, m'accordant simplement le plaisir d'un massage délicat de mes bourses gonflées, désireuses de libérer leur divine semence.
"Tribulations sexuelles". A la lecture de ce récit au titre évocateur, l'excitation monta encore d'un cran. Les mots si bien écrits se transformèrent en images, tant et si bien que je relus plusieurs fois certains paragraphes, me délectant de la scène qui semblait se dérouler devant moi. M'attardant particulièrement sur la fouille de cet orifice chaud et humide, ce vagin étroit, cette délicieuse chatte. Fermant les yeux et imaginant ces doigts en elle, je sortis mon sexe de sa prison de tissu, ce dard qui n'avait de cesse de réclamer d'être branlé avec attention.
Caressant délicatement cette peau fine et douce de tout son long, je décalotte ce pieu dressé, libérant un gland gonflé, rougeâtre et luisant.
Les yeux fermés, je repense à ces mots décrivant la mise en place des poids sur ces délicates et fragiles lèvres vaginales. La douleur…le plaisir…subtil mélange….Un premier va-et-vient le long de mon membre…un gémissement m'échappe...comme un soulagement…très lentement…je descend jusqu'en bas de ma verge, remontant lentement…mélange de plaisir et de frustration, l'envie d'aller plus vite…je serre fermement mes bourses entre pouce et index, l'une après l'autre…Repensant à la description finale de ces plaisirs sodomites, j'accélère mes mouvements, offrant à mon sexe ce qu'il me réclame depuis un long moment. Je m'imagine forçant à mon tour le passage de cet orifice étroit et interdit.
J'ignore combien de temps cela dure, je monte, je descends, je caresse, je serre, je branle, je gémis par moments…je me délecte de ces sensations, j'aimerais que cela dure encore et encore…mais je sens la sève, ce précieux nectar désireux de prendre le large en une explosion de jouissance. Je cesse alors mes caresses, désireux de faire durer un peu plus encore cet agréable moment.
J'entame un dernier récit: "Tribulations charnelles". A la première lecture, ce texte m'avait particulièrement plu. Je le redécouvre peu à peu, m'attardant sur cette branche fine et souple punissant chaque parcelle de ce corps offert, fesses, cuisses, seins, sexe, rougissants peu à peu sous les coups…S'en suit la description du fist, c'en est trop….Je ferme les yeux, imaginant cette main emplissant cette vulve brûlante et coulante, ces doigts serrés, forçant délicatement le passage pour s'introduire dans cet antre trempé de désir…
Je me caresse de plus en plus vite…je pense à ce délicat parfum intime de femme, à ces punitions, ces seins malmenés puis caressés, ces lèvres étirées, ces orifices honorés, ces va-et-vient bestiaux, ces tétons étirés, pincés, à cette main s'abattant sur des fesses tendues, je m'imagine enfin forçant le passage de cet anus serré…l'explosion ne se fait pas attendre, la semence, ce nectar délicat, se repend sur mon ventre contracté…trois, quatre soubresauts expulsent une liqueur abondante et visqueuse, les râles se succèdent, mi-homme, mi animal en rut…
J'ai joui, une fois de plus, en vous lisant…
Monsieur M
